Toute entreprise qui choisit de réaliser sa comptabilité en interne, doit utiliser un logiciel de comptabilité sécurisé depuis le 1er janvier 2018.

Même si cette obligation ne s’applique pas (encore ?) à certaines catégories de micro-entrepreneurs, beaucoup font le choix d’utiliser un logiciel capable de sécuriser leur comptabilité et d’en garantir la fiabilité.

Certains éditeurs proposent des solutions adaptées aux spécificités légales d’une activité, notamment en ce qui concerne les mentions obligatoires sur les documents de vente.

J’ai fait l’acquisition d’une licence « à jour » pour l’utilisation d’un de ces logiciels.
J’y ai pourtant découvert une mention pré-paramétrée obsolète (« Dispensé d’immatriculation en application de l’article L.123-1-1 du code de commerce. » : abrogé depuis 2014), ainsi que la mention d’un décret encadrant le retard de paiement. Ce dernier date de 2009, alors que le taux d’intérêt légal qui sert à calculer la pénalité, est redéfini par décret chaque année…

Alors si vous souhaitez réellement être crédible et vous prémunir de mauvaises surprises… je vous conseille fortement de vérifier les éléments qui sont pré-paramétrés dans le logiciel que vous utilisez !